Chaque Confrérie avait jadis un rôle bien défini et le plus souvent tourné vers les œuvres de Miséricorde.
A une époque où l’Etat n’assumait que les tâches qui lui incombent spécifiquement telles que police, justice, finances, défense, les Confréries géraient elles-mêmes, souvent avec bonheur, les oeuvres d’instruction, d’éducation, d’assistance et de protection sociale en particulier auprès des indigents de toutes conditions et de toutes provenances tels que les pauvres, les malades et les infirmes, les veuves et orphelins, les vieillards, les voyageurs et les prisonniers.
En matière d’évangélisation, la confrérie s’est attachée à la mise en oeuvre d’une activité culturelle parallèle à son activité cultuelle. Au-delà des manifestations destinées à promouvoir le Beau, le Vrai et le Bien, dans tous les domaines où ces » universaux » peuvent être cause d’enseignement et d’édification, (conférences, concerts, expositions, audiovisuel, etc… ), la confrérie souhaite travailler en faveur d’une » culture de vie » s’appuyant pour ce faire, sur le puissant symbole et le patronage de la « Vierge en attente de l’Enfantement « .
Mais elle s’est aussi attelée à prêcher la » bonne nouvelle » de la résurrection du Seigneur , d’abord en répercutant l’enseignement des apôtres, mais aussi en interrogeant la Science à propos du Saint Suaire qui, pour la seule » raison « , demeure toujours une » énigme « .